AIDES lance de nombreux partenariats avec d’autres associations travaillant sur la réduction des risques sexuels ou pour les usagers-ères de produits psychoactifs (le PASTT, ASUD, Techno+, etc.).
Mars : Santé publique France (alors INPES) constate une baisse importante du nombre d’hospitalisations et de décès grâce à l’accès aux trithérapies. Cependant, des résistances aux traitements commencent à apparaitre.
Août : Le dépistage précoce, les traitements d’urgence (TPE) et les traitements prophylactiques pour les professionnels-les de santé sont mis en place.
Octobre : Les traitements ayant une autorisation de mise sur le marché (AMM) sont disponibles en pharmacie de ville. Jusqu’à présent, ils n’étaient accessibles qu’en pharmacies hospitalières.
Novembre : Lancement du programme « Afrique 2000 » visant au renforcement de capacités des associations africaines pour mener leurs actions de lutte contre le VIH (à l’initiative de AIDES).
L’Onusida lance une initiative en faveur de l’accès accéléré aux antirétroviraux, en partenariat avec l’industrie pharmaceutique qui accepte de différencier les prix selon les revenus des pays ; avec des prix nettement plus bas au Sud.
1er décembre : L’opération nationale de collecte de fonds « Contre le sida, un franc n’est jamais symbolique » est lancée. Elle est parrainée par le présentateur de jeux télévisés Pascal Brunner, alors grande vedette du petit écran.
L’Onusida estime que 30 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde, beaucoup plus que ce que l’on pensait. On estime qu’une personne sur 100 dans le monde vit avec le VIH et seulement une personne sur 10 d’entre elles le sait.
